Corcovado, Costa Rica, le 12 août 2004
Le jour passe, et avec lui l’enfance, et les soleils et les couleurs. Tout deviendrait si calme et gris qu’on en oublierait bientôt d’aimer. Mais il y a la mer pour tenir la note. Il y a la vague pour rouler les chants et l’écume sur la grève bat le rappel des chamades. L’océan est la mémoire des vies que nous n’avons pas encore étreintes, la mémoire des cœurs impossibles à éteindre.
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