palais de Madurai, Tamil Nadu, août 2008
« Que de fois en écrivant une lettre d’amour tandis que l’espoir diffusait sa douce folie, on a pu croire que la réponse que l’on recevrait aurait la même ardeur ! Comme ces constructions imaginaires sont douloureuses. On a livré son cœur, on l’a échauffé d’espérance, et le destinataire ne lui répond pas. Le silence. La réprobation du silence. On était seul. »
(Jean-Marie Rouart, Nous ne savons pas aimer)
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